Petite ballade a Marie Joa

Sujet: Petite ballade a Marie Joa Ven 31 Oct 2008, 23:52

Le soleil était levé depuis fort longtemps lorsque le jeune colonel Striker se décidas enfin a émergé de son lit, il fut réveillé par le tumulte de tous les mousses et 3 ème classe qui s'entrainait juste a coté de sa chambre . Il se leva donc puis se dirigea vers la salle de bain afin de prendre une bonne et ravigotante douche

**Hum , je devrait peut être allé faire un tour en ville histoire de bien commencé cette rude journée ** Very Happy

Il s'habilla donc et sortit de sa chambre la mine réjouit . il prit alors la direction du bar des marine situé dans le Q-G il entra scruta la salle et adressa de bref bonjours au quelques personnes qui lui était famillière dans la pièce puis s'installa au comptoir et :

"Un café bien noir je te prie "

Le barman, un homme barbu d'une quarantaine d'année et ma fois tres lent pour son age le fixa puis entrouvrit la bouche

"Oui bien sur monsieur Striker "

Puis il se tournis et actionna la machine a café dans un bruit de café moulu

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Sam 01 Nov 2008, 00:32

Un jour comme un autre, un jour de mission en plus était censé commencer pour Rosée. Hélas ce ne fut pas le cas et elle ne put faire ce qu’elle faisait à son habitude, travailler. C’était hélas pour elle une journée de repos. Oui elle était surnommé le soldat, pourtant elle était une femme et avait pas mal d’atout même si elle n’était pas la plus belle femme du monde, heureusement pour elle. Pour elle la beauté et toute ces futilités ne servaient à rien, alors elle s’occupait d’elle au stricte minimum. Elle avait donc du prendre une ‘journée de repos’, ordre de ses supérieurs, la poisse, mais bon elle ne pouvait rien y faire. Elle ne savait donc pas quoi faire de sa journée et se retrouva alors… à errer dans la ville.

Elle s’était levée tôt et s’était entrainée comme à son habitude, car même si elle était en congé, elle refusait de ne pas faire des entrainements, elle ne voulait pas perdre de tems ni quoi que se soit du genre. Elle réussit aussi à récupérer son arme, on la lui avait confisqué, mais quel idée d’être un membre du CP9 sans son arme ? Bon elle savait se battre sans mais tout de même. Aussi elle s’était débrouillée pour récupérer sa guitare, et oui, drôle d’arme non ?

Elle alla donc au QG et se rendit au bar, afin de voir si elle pouvait récupérer des infos pour plus tard… elle cherchait de tout et n’importe quoi sans raison particulière. Elle avait un chemisier blanc sans manches ainsi qu’un pantalon noir, sa guitare était dans son dos elle avait une attache. L’arme était noire avec des endroits blancs, mais elle était bien attirante. Elle portait des chaussures à talons, pour elle pas de problèmes de marcher avec. Les cheveux détachés, on ne la reconnaissait quand on la connaissait. Une fois là-bas elle s’installa au bar et commanda :

« Une bière s’il vous plait. »

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Sam 01 Nov 2008, 00:57

Raiki les sens toujours a l'affut remarqua immédiatement l'entrée de la déesse sous forme humaine dans ce bar miteux du QG de la marine a peine entrée toutes cette salle enfumé empestant le vomit et autres dégections spontané s'emplit sur le champs d'un voluptueux parfum de femme il se tourna alors doucement et sur le tabouré a coté du sien se tenez cette merveille

Barman:"Votre commande est servi monsieur Striker"

sans détourné son regard de la merveille il sortit de l'argent de sa poche et paya le barman

Rosée : "une bière s'il vous plait"

il prit alors son courage a demain et d'un air détaché proposa a la jeune femme :

"Si je puis me le permettre laissez moi vous offrir se verre ;je me présente colonel Raiki Striker"

**Wahou quel classe , la j'ai assuré **

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Sam 01 Nov 2008, 01:15

Un homme l’interpella… un colonel ? Pourquoi il lui parlait ? Elle le regarda avec son air froid, il lui proposait de payer son verre… que dire à cela ? Elle s’en fichait bien de cela ! Elle lui répondit dès qu’elle eut sa commende et après avoir payé pour lui faire entendre :

« Non. »

Elle ne resta pas plus longtemps sur lui, elle s’en fichait bien, elle attendait juste qu’un amiral ou un vice amiral lui permette enfin de reprendre du service et qu’elle reparte en mission. Elle n’aimait pas parler, elle ne savait pas non plus être sociable. Elle n’avait pas été froide, mais elle n’avait mit le moindre sentiment dans son mot. Elle n’avait pas du tout l’habitude, il n’aurait plus manqué que se soit un piplet ou un beau parleur et il aurait eu droit à un mur. Elle n’était pas communicative et n’aimait pas vraiment les personnes qui étaient positives… des fois elle en avait peur mais elle ne savait pas pourquoi. Etait-ce parce qu’elle ne connaissait rien au bonheur ? A la joie ? Ou encore au faite qu’elle n’a jamais rien su de tout ce qui faisait que les gens étaient content.

Elle but une gorgé puis une autre. Elle se demandait bien ce que les gens pouvaient dire sur les rumeurs qui pouvaient circuler… elle n’entendait rien… car personne ne disait rien… c’était bien étrange et malheureux à la fois.

*Personne n’a donc rien à faire ici ? Se sont tous des flemmards… pas étonnant que l’on n’arrive pas à arrêter tout les pirates… ils sont de plus en plus nombreux et… i n’y a personne pour se bouger, c’est n’importe quoi… »

Voilà ce qu’une personne avec un minimum de sentiments aurait dit, mais ce n’était même pas le cas de Rosée, elle ne pensait même pas et se contenta de finir son verre. Que faire après cela hein ?

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Sam 01 Nov 2008, 16:17

Le simple "NON" de la jeune femmes sembla mettre Raiki dans un état de décrépitude avancé il la regarda les larmes au yeux puis se décidas a commandé un second verre

"Hey ! Tu me mettrait un double whisky"

Le barman le regarda d'un air septique puis alla accomplir son devoir

**Il faut a tout pris que j'arrive a engagé la conversation avec cette dame de glace**

Il la regardas encore discrètement puis demandas d'une voix claire et sur de lui :

"Si je ne puis vous offrir un verre dites moi au moins votre nom mademoiselle "

Après cette phrase il commença a réfléchir au fait qu'il n'avait jamais vu cette femmes auparavant, et qu'elle faisait tellement tache dans se monde de brute dépourvu de subtilité qu'il se demanda comment il n'avait pu se poussait la question au préalable, et de seconde en seconde la chose bizarre se changea en malaise

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Sam 01 Nov 2008, 18:43

Mais c’était qu’en plus il ne lâchait pas l’affaire ! Elle fronça les sourcils intérieurement, mais le regarda de manière non intéressée. Elle se fichait bien de savoir qui il était, juste il voulait savoir pourquoi il lui osait ces question. IL n’y eut qu’une réponse qui lui vint alors ; un dragueur du dimanche, oui vous savez ces garçons qui s’amusent à dragueur ouvertement (comme lui) toutes les filles qu’ils voient car ça ne marche jamais. Il lui faisait penser à cela. Décidément ce n’était pas son jour à Rosée. Déjà qu’elle ne pouvait pas travailler elle se retrouvait avec un pot de colle. Elle l’aurait bien volontiers ignoré mais elle savait bien que cela n’aurait pas marché avec lui. IL semblait plus être un mec collant qu’autre chose. Enfin, elle n’était surement pas au bout de ses peines la pauvre petite. Elle lui répondit tout de même par politesse :

« Dolina, Rosée Dolina, maintenant vous pourrez me laissez en paix ? Je n’ai pas que cela à faire que de supporter un homme de votre genre. »

Elle finit son verre et se leva, elle ne réussirait pas à obtenir la moindre information ici, surtout avec ce type qui la collait ainsi. Elle reprit sa guitare et la remit son sur dos ensuite elle partit en direction de la porte du bar et sortit sans même dire au revoir… elle n’était pas toujours respectueuse envers tout le monde… mais elle faisait déjà un minimum c’était déjà cela. Elle avança dans la ville et se demanda bien ce qu’elle pouvait faire maintenant. Elle se posa sur un rebord de fontaine et… rien du tout. Elle ne faisait rien, enfin pendant un moment, après elle mit les mains sur le côté, à côté d’elle en faite et regarda le ciel. Sa guitare était à ses pieds, tranquillement posée à se dorée au soleil comme sa maîtresse, même si cette dernière ne prenait jamais de couleur et qu’elle restait tout le temps blanche.

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Mar 11 Nov 2008, 22:51

Après s'être fait remis en place comme il se doit Raiki toujours perdu dans ses pensée il ne savait toujours rien de cette jeune femme qui était bien froide et mystérieuse .

**Cette femme dégage une aura particulière presque meurtière **

Il se levas et sortit d'un pas vif du petit bistro et suivit pas a pas la jeune femme mystérieuse ; elle semblait déambule sans but précis a travers le QG .

**Elle m'intrigue ,le sentiment qu'elle dégage est diffus et bien qu'elle soit haut en couleur elle semble être quasi invisible doit lui vient une tel faculté de se fondre dans la masse , si ca ce trouve elle n'est pas militaire **

Il vut alors que la jeune femme avait finit ca marche et qu'elle s'était assise sur le bord d'une fontaine il se décidas de accostées de nouveau mais d'un angle différent

"Qui es tu ? Et que fait tu ici ? je ne t'ai jamais vu auparavant "

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Mer 12 Nov 2008, 14:33

Il ne lâcherait donc jamais ? A croire que le mot abandon ne faisait pas partit de son vocabulaire à lui. Rosée le regarda, il n’était pas un simple marine, mais il n’était pas assez gradé pour lui donné des ordres… donc il ne servait à rien. Ensuite elle tourna sa tête pour regarder ailleurs comme s’il n’était pas là, sympathique ? Eh oui c’était dans sa nature.

*Mais qu’est ce qu’il peut bien me vouloir à la fin ?*

IL lui demanda qui elle était…. N’avait-elle pas répondu ? IL devait vouloir savoir par rapport à la marine, était-elle donc si différente avec les cheveux détachés ? Elle avait pourtant toujours le même regard et n’avait pas non plus beaucoup de chose qui la différenciait de d’habitude… c’était incroyable de savoir comment une coiffure pouvait faire bien des différences. Elle fit la boue et lui répondit en reprenant un visage fermé, froid et cruel comme sa voix et ses paroles :

« Je l’ai dit, il faut écouté, Rosée Dolina, à moins que CP9 ne vous parle plus ainsi que mon surnom de ‘Soldat’. Le reste ne vous regarde pas. Et que vous ne m’ayez jamais vu est normale d’habitude je travaille pas comme certains qui traînent à longueur de journée dans des bars. »

Maintenant restait à savoir s’il avait prit cela comme une remarque lancé vers lui ou pas, en réalité ce n’était pas le cas, elle parlait des fainéants qui ne bougeaient jamais leurs fesses des bars et qui n’étaient même pas capable d’arrêter un simple pirate. Elle croisa ses jambes attendant une réponse, ne sachant pas quelle serait sa réaction, partirait-il ? La laisserait-il tranquille ? Elle n’avait pas vraiment le droit de se battre alors elle ne risquait pas de l’attaquer là c’était clair et simple et puis, une bagarre entre personne travaillant dans le même but était toujours très mal vu et elle n’avait ni besoin ni envi d’avoir ce genre de réputation ignoble et méprisante. Toute fois elle lui demanda :

« Et vous, puis-je savoir qui vous êtes pour m’importuner autant ? A moins que ce ne soit qu’une simple formalité de votre part que de casser autant les pieds aux gens lors de votre première rencontre avec eux. »

Sujet: Re: Petite ballade a Marie Joa Jeu 13 Nov 2008, 20:46

[Hihihi j'ai demandé à Rosée si je pouvais venir ... et elle adit oui alors hop je m'incruste XD]

Eh bien bonjour à vous cher Rosée Dolina, membre active du CP9, dit : Le Soldat pour son obéissance total aux ordres et à sa manière de tuer sans aucune pitié ^^

Jaag était accroupti sur le bord de la fontaine, un sourire au lèvre. Que faisait le leader de la révolution sur Marie Joa ! L'ile principale de la Marine ? Etait-il fou ? Etait-il sucidaire ? Eh bien non, il était tout simplement intéligent et savait que son visage était totalelment inconnu au yeux du gouvernement. Amusé d'avoir pénétré leur base si facilement, il avait au passage éliminé un contre-amiral auquel il avait volé son uniforme pour passer inaperçut. Ayant un certain pouvoir, il pouvait faire à peut près tout ce qu'il souhaitait et, dans sa petite balade au seins de cette île qu'il avait autrefois foulé en tant que combattant. Raffraichissant sa mémoire il se souvenait un peu du contrat qu'il avait passé à ses hommes pour éliminer cette femme ... Et l'autre, ce n'était qu'un subalterne de bas étage à qui il pouvait demander pas mal de chose ... non, ordonner plutôt !

Eh bien, je vois que vous avez mérité votre réputation ... Une femme aussi jolie ne devrait pas être aussi froide ^^. Pourquoi tant d'agitation ?

Prennant une voix toute gentille, il se tourna ensuite vers le petit troufion.

Hep vous, félicitation, vous êtes muté à la taverne xD
Ah mais pardon, je ne me suis pas présenté. Je suis Myster-T, le commodor fou !!!

Magnifique ! Déjà qu’elle avait un boulet et qu’elle ne savait pas comment s’en débarrasser elle se retrouvait avec des questions sans réponses maintenant ! Bah, dans un sens elle s’en fichait pas mal, non la réalité était que tout cela lui était totalement indifférent ! Elle était bien plus tranquille à ne plus avoir à parler à ce truc trouver dans la taverne et qu’elle ne voulait pas voir ! Mais à quel prix ? Celui qui lui avait fait par de cette chance pour se débarrasser de l’homme qui ne sait pas arrêter de draguer une fille n’était pas, à ce qu’il semblait dire, une si simple personne. Non, il semblait que c’était un commodore, super, un de ses supérieurs ! Elle allait peu être enfin pouvoir reprendre du service mais… il ne ressemblait pas à un des commodores ! Elle ne les connaissait pas tous ? Etrange il n’y en avait pourtant pas tant que cela…. Il lui faudrait tirer cela au clair, elle n’aimait pas cela, elle sentait qu’il y avait un truc qui faisait que…

En tout cas Raiki Striker partit, il devait croire ce qui était dit par le commodore, étrange tout de même mais bon, ce n’était pas non plus si étrange si c’était bien la vérité. Si cette personne semblait aussi bien en savoir sur elle, se devait être parce que c’était alors la vérité. Une fois Raiki partit, elle se tourna vers l’homme et le regarda bien, elle mit un temps avant de lui demander la seule chose qui peut l’intéresser :

« Etes-vous réellement un commodore ? Il ne me semble pas que vous courrier les rues… et que feriez-vous ici si c’était bien ce que vous êtes ? Me redonner le droit de partir en mission ? Si c’est cela se ne serait pas trop tôt, je suis en ce que vous appeler des vacances (qui pour moi sont de véritables tortures) et ce depuis hier soir. Alors ? »

Elle n’avait pas bougée, mise à part ses lèvres mais quoi de plus normale ?! Elle attendait là d’être sur et de pouvoir savoir si oui ou non elle allait enfin repartir à l’action ! Elle ne voulait pas avoir à faire encore elle ne savait quoi qui ne servait à rien dans sa vie, elle voulait faire ce pour quoi elle était là, se battre et arrêter les pirates. Sans parler de tout ceux qui sont contre le gouvernement, mais cela allait tellement de soi, que le dire n’est pas si obligatoire que cela.

« Etes-vous réellement un commodore ? Il ne me semble pas que vous courrier les rues… et que feriez-vous ici si c’était bien ce que vous êtes ? Me redonner le droit de partir en mission ? Si c’est cela se ne serait pas trop tôt, je suis en ce que vous appeler des vacances (qui pour moi sont de véritables tortures) et ce depuis hier soir. Alors ? »

Rho que du blabla détend toi un peu ma cocotte !!! T'es en vacance non d'un cochon !!! Aller hop amuse toi ! C'est un ordre !!!

Il avait sautait du haut de la fontaine et s'était placé en face de la jolie demoiselle pas en détresse. Les main sur les hanches, le regard lointain, il fixa un point imaginaire au dessus de la tête de Rosée.

Tu sais quoi ma petite ... j'ai une question à te poser ! Une question de la plu haute importance !!!!

Prenant une voix grave, sévère et importante, il leva les bras en l'air et fixa la poitrine de la demoiselle bientôt en détresse xD Ses yeux était exorbitaient, son souffle court et son haleine d'alcoolique fusait jusqu'au narine de Rosée. Un sourire perver aux lèvre, ses jambes tremblottaient bizarrement pui il se raprocha ne bougeant que les pieds. il se baissa et lui chuchotta à l'oreille

Pourais-je voir votre petie culotte ?

Hein ?! Alors là non ! Impossible qu’un commodore soit ainsi ! Se ne pouvait pas en être un vrai ! Elle le regarda faire, il semblait être complètement ivre et on passait le passage où il lui souffla presque dans la figure et qu’elle sentit son alène qui puait l’alcool ! Impossible pour elle qu’il dise la vérité ! C’était bien trop flagrant ! Elle le regarda et se demanda bien ce qu’il pouvait alors encore lui sortir ! Elle ne fut pas déçue alors là non ! Il lui demanda de lui montrer sa culotte ! Elle ne réfléchit pas longtemps à savoir ce qu’elle allait dire, elle s’en fichait bien de voir un pervers dans ce genre mais… elle ne supportait pas qu’il ait l’idée de la toucher elle ! Si bien qu’elle lui donna un bon coup dans la partie la plus fragile des hommes, la plus douloureuse et pourtant qui en même temps leur était si proche ! C’était ce qui montrait leur vraie nature, car leur instinct en ressortait toujours… hélas pour nous mesdemoiselles.

Ensuite elle se leva et prit sa guitare, elle la mit sur son épaule et tourna en donnant un coup d’étui à guitare par la même occasion mais ce sans le faire exprès. Que voulez vous, le monde était ainsi fait des fois, qui sème le vent récolte la tempête ! Alors elle faisait comme si de rien n’était et continuait son petit chemin pour s’arrêter un moment se demandant ce qu’elle allait bien pouvoir faire, elle n’en avait aucune idée, c’était vraiment désolant des fois ! Désolant et frustrant, alors elle décida de s’occuper, il était vrai, après tout qu’elle était en vacances… alors pourquoi en effet ne pas en profiter ? Elle se retourna et alla vers l’homme, s’accroupit et dit :

« Excusez-moi pour ce désagrément il n’était pas voulut, mais j’ai reçut ordre de ne jamais me laisser touchée par un homme ni même de faire ce genre de choses, et je ne reviendrais pas là-dessus, cet ordre est impératif. Je pense que vous me comprendrez. Sinon vous n’avez toujours pas dit pourquoi vous êtes là. »

La voix toujours aussi froide et dure, cruelle et en même temps si douce à entendre (non ?) Elle allait suivre son conseil car pour elle il était clair qu’il n’était pas ce qu’il disait être mais bon, elle n’avait aucune preuve de ce qu’elle avançait alors… mieux valait éviter. Elle verrait bien ce qu’il en adviendrait.

« Excusez-moi pour ce désagrément il n’était pas voulut, mais j’ai reçut ordre de ne jamais me laisser touchée par un homme ni même de faire ce genre de choses, et je ne reviendrais pas là-dessus, cet ordre est impératif. Je pense que vous me comprendrez. Sinon vous n’avez toujours pas dit pourquoi vous êtes là. »

Arg ... saletée de robot va !

Jaag se tenait les parties génitales. Un mal de chien lui lacéra l'entrejambe et il cru que ses boules allaient ressortir par sa bouche. Vomissant sur le coté put voir trois pommeaux de sabre dépasser de sous l'uniforme de commodore. Indice ? Ou pas ? En tout cas, ce qui est sur, c'est que cet homme, même ivre,, n'était pas un commodre ! D'un coup sec il se releva et colla un coup de pied dans le ventre de la demoiselle en détresse qui s'écrasa dans la fontaine. Il dégaina ensuite son premier sabre et lui colla sous la gorge.

Ah, au fait, je ne suis pas commodre. Je sui Jaag Akanawa, révolutionnaire et ancien leader du CP9

Puis il recommença à fixer la poitrine attirante de la jeune demoiselle en détresse tout en la gardant à distance, se méfiant de ses réaction face à un adversaire comme celui la. Enlevant son manteau de Marine, une armure rouge sang apparue alors. Puis il parla d'un ari tout à fait normal, comme si il n'avait pas encore bu une goutte d'alcool

Je crois que le niveau du CP9 à baissé depuis le temp ... je me demande pourquoi on me dit que tu es l'une des plus grandes menaces de la révolution ...

Trois sabres ?! Elle en était sur il n’était pas ce qu’il prétendait ! Comment avait-elle put ne pas s’en rendre compte tout de suite ?! Elle rageait intérieurement, elle aurait du écouter son instinct et ne pas laisser l’autre partir ainsi, pour une fois il aurait peu être pu servir, elle ne sentait pas vraiment la suite, comme un mauvais pressentiment. Elle ne vit pas tout de suite ce qu’il se passait, elle ne comprit pas alors sur le coup ce qu’il s’était passé. Ce n’était qu’une fois la tête contre la fontaine et sa guitare plus loin sur le sol qu’elle comprit ce qu’il se passait, il lui avait donné un coup dans le ventre avant de l’envoyer balader contre cet fontaine, fontaine était et est toujours égale à eau non ? Mauvais pour elle, mais peu être pour lui aussi. Il lui avait mit un de ses sabres sous la gorge, il n’était donc pas en train de rigoler, elle s’en doutait bien à le voir ainsi. Il était un ancien…. C’était lui le leader du CP9 avant ?! Pas étonnant qu’il soit fort alors. Elle ne revenait pas d’avoir vu cela, de rencontrer quelqu’un comme lui, mais il n’était pas tout jeune non plus, elle le savait bien, elle avait entendu parler de lui… il était donc bien un détenteur de fruit du démon.

Ensuite il enleva son déguisement, une armure rouge… elle était comme la couleur du sang, attirante et repoussante à la fois. Etrange description non ? Elle était tout simplement à l’image de ce monde. Rosée ne comptait pas se laisser faire ainsi mais en même temps… elle ne savait pas non plus trop quoi faire, elle n’avait aucun ordre et ne pouvait pas se remettre en service sans y avoir été autorisée ! Un dilemme qu’elle n’aimait pas et qu’elle aurait préféré ne pas avoir à subir. Elle vit bien qu’il regardait sa poitrine, elle se doutait bien que même s’il était un révolutionnaire, il n’en était pas moins un homme. Puis, elle trouva une idée, elle savait bien qu’elle ne serait pas réprimandée pour cela, elle pouvait alors en profiter. Elle ne répondit rien sur le coup car il y avait une chose qu’elle ne comprenait pas trop elle aussi, pourquoi être considérée comme l’une des plus grandes menaces de la révolution ? Elle ne savait pas trop et décida alors de prendre cela comme recherche. Mais pour le moment c’était autre chose qu’il lui fallait faire elle en comptait pas être inactive elle l’avait déjà été que trop longtemps selon elle ! Regardant la rue, Rosée se rendit compte qu’il n’y avait plus personne, les gens étaient partit, ils étaient seuls… pas plus mal, elle pourrait alors faire ce qu’elle voudrait.

« Je ne sais pas plus que vous pourquoi je suis considérée comme une menace de la révolution, peu être parce que je risque de recevoir pour ordre de vous arrêter. Vous êtes si intéressé que cela ? »

Pas compliqué de comprendre de quoi elle parlait, c’était de sa poitrine, il avait tellement ce regard qui n’appartient qu’au plus grand pervers ! Comment passer à côté de cela ? Impossible ! Et pourtant, c’était ce qu’il en était. Elle ne souriait pas, à aucun moment elle n’avait eut le moindre signe de sentiment, elle était froide comme à son habitude, elle ne montrait rien. Masi elle savait déjà ce qu’elle allait déjà faire, elle commença à porter ses mains de manière délicate à son chemisier, elle le faisait sans aucune hâte, ainsi il devait bien se douter qu’elle n’attaquerait pas, enfin pas de manière directe. Elle allait lui faire payer mais de façon dont il n’avait pas encore idée, elle ne le laisserait pas avoir raison d’elle. Si bien qu’au bout d’un petit instant, tout son chemisier était ouvert et que l’on voyait son soutient gorge violet comme ses yeux, elle y avait des éclaire dedans, enfin c’était l’impression que l’on en avait. Elle reposa ses mains sur le sol et ajouta :

« Que comptez-vous faire contre une femme presque à moitié nue et désarmée hein ? Vous comptez vraiment me faire mal et prendre le risque de ne pas pouvoir en profiter ? Dommage pour vous, aucun homme ne m’a encore jamais touché et ce n’est pas demain la veille que cela arriveras sans mon autorisation. Alors ? On parle ou vous voulez blesser une simple femme qui passait par là ? »

La jeune fille remarqua qu'il était un perver fini. Mais comment ne pas le remarquer ?! Son regard ... mais quel regard ? Il était aveugle !!! Mais il avait telement l'habitude de baisser les yeux sur les seins des jolies femmes que ce tique lui est résté. N'ampeche que, même si il était aveugle, ses autres sens ne le trahissait pas et il voyait comme quelqu'un de normal vérrait une superbe poitrine soutenu par un soutien gorge violet ! Puis elle lui dit que patati et patata. Il n'écouta même pas et resta fixé sur les magnifiques atout de cete jolie fille.

... qui vous a dit que je voulai vous tuer ? Je suis venu içi pour vous proposer de travailler avec moi.

Jaag tenait toujours son sabre à bout de bras mais l'avait un peu retiré du coup de la jeune demoiselle car si elle avait voulu contre-ataqué, elle l'aurait fait depuis longtemp. Un membre du CP9 ne se laisse pas si facilement faire. Il le savait car il avait était le meneur de ce groupe d'asassin tuant d'abord et parlant ensuite. En tout cas, il appréciait le spectacle l'enfoiré ! Mais il n'était pas con et savait très bien qu'elle ne se laisserai pas faire ... Décidé à la faire entrer dans son équipage, il décida de jouer sur ses entécédant de Marine.

Dit moi, mon ancien grade de leader du CP9 me donne-t'il un certain pouvoir sur toi non ? Car, on ne me l'as toujours pas retiré étend donné que je suis sensé être mort ? Et je suis aussi un officier Marine à la retraite, un Commodre même !

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