Histoire : ( dsl il y a un peu de dialogue mais tres peu )
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été ici. Enfermé sous terre, ou alors en déroute, fuyant un prédateur dont j’ignorais souvent jusqu’à l’existence. Au début, à vrai dire, je considérais toutes ces fuites comme étant un jeu. Un simple jeu. Sans me douter une seule fois que ma vie était en danger. Pire, je n’avais même pas conscience que chaque seconde m’était précieuse, que je devrais lutter pour obtenir chacune d’entre elle. Mais j’allais bientôt le réaliser. L’histoire qui suit est celle que l’on m’a narré. Je ne peux garantir sa véracité, connaissant la personne qui me l’a déballé. Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un sordide mensonge. Mais c’est ce à quoi je crois. À votre plaisir de vouloir imaginer votre propre version.
Aux dires, je n’avais que trois ans quand tout est arrivé. Ma vie avant cet âge, elle ne vous intéresse pas, car elle a été des plus normales. Mes parents étaient d’honnêtes travailleurs, toujours errants sur les routes pour vendre le fruit de leur labeur. À ce qu’on m’a dit, ils s’arrêtaient de temps à autre dans une grande ville de l'île ou on vivait, où ils avaient une maison à leur nom. J’ignore où et quand je suis née ainsi que mon nom de famille. Je prétendrai donc que c’est de cette ville que je suis native, bien que je ne le sache pas plus que vous. Bref, c’était un jour pluvieux. Le ciel était envahi de nuages gris et, à ce qu’on m’a dit, les routes étaient glissantes. Le chariot contenant à la fois les marchandises et notre famille avançait un peu trop rapidement pour les conditions. Mon maître m’a révélé qu’une roue avait dérapée. Les chevaux s’étaient emballés, et mon père avait perdu le contrôle. Bientôt, le chariot avait chaviré, et déboulé le faussé qui longeait la route. Mes parents n’y avaient pas survécus. Je peux sans mal m’imaginer la scène : Les éclairs zébrant le ciel, les restes du chariot, les deux chevaux dont la vie s’était brisée et, sous la toile, un mouvement, et les pleurs du gosse que j’étais à cette époque.
J’n’ai jamais pu expliquer sa décision. J’ignore pourquoi il a choisit de s’encombrer d’un môme de trois ans. Je n’étais même pas en âge de comprendre ce qui m’arrivait. Il a seulement était mon maître, que j’ai très vite considérer comme mon père. J’ignore si il en fut autant pour lui. De cet homme, je sais juste qu’il m’a élevé et qu’il m’a entraîné. Toute mon enfance, il m’a aidé à développer mon pouvoir, tout en m’apprenant à lire et à écrire, en une seule langue. À ses côtés j’appris aussi à compter, l’histoire de ce pays ainsi que sa géographie, et les croyances et coutumes des différentes îles qu'il connaissait. Mais plus que tout, avec lui, j’appris la confiance. Ça peut sembler vieux jeu, oui. Mais c’est grâce à cela qu’aujourd’hui, je suis c’que je suis. J’ai grandi entourée de criminels notoires, mais aussi de bons hommes, en sachant que mon avenir serait le même que le leur. Je devrais irrémédiablement travailler à leurs côtés, de front contre un adversaire des plus redoutables. Dans une telle situation, il est primordial de faire confiance à son partenaire, et de réagir aux ordres sans hésitation. Hors, il est difficile d’accorder sa confiance à des inconnus. Mon maître m’a aidé à vaincre la tension qui m’envahissait lorsque je me retrouvais près de mes coéquipiers.
Nous étions partis pour en entraînement des plus normal. À l’époque, j’avais treize ans. Quant on y repense, ça ne fait pas si longtemps. L’activité du jour : pratique du maniement du Katana. Je m’étais déjà souvent exercée au maniement de cette arme, mais je n’étais certes pas préparée à ce que mon maître allait m’imposer. Sans explications, il me plaça un bandeau sur les yeux et m’indiqua par la suite qu’il approcherait neuf troncs d'arbres. Ils m’entoureraient, ainsi que mon maitre. Dos à moi, immobiles. Je devrais n’en laisser qu’un. Par la suite, il m’ordonna de tourner sur moi-même. Et c’était parti. Dépourvus de tout repaire, je n’savais qu’une chose : Je devais éliminer les neuf troncs. Parmi ces neuf-là, j’avais une chance sur neuf de toucher mon maître. Et c’était une question de hasard. Je ne pouvais me servir de mes sens pour différencier le vrai des troncs.
‘’Tu as vingt secondes’’.
Lança t-il, d’un coup. La pression montait, et j’n’avais plus le choix. Je devais frapper. Je me suis donc avancée de quelques pas, et la lame de mon sabre a sifflé dans l’air, arrêtant sa course dans le bois d'un des troncs. Ce dernier tomba en silence et, revigorée par cette réussite, je me mis à frapper un à un, comptant le nombre d’éliminés. Huit. Il n’en restait plus que deux. Mon sabre fendit l’air pour la dernière fois, et vint terminer sa course en déchirant un flanc. Mais le bruit adoucit d’explosion retentit derrière moi. En entendant une plainte, tout près, j’arrachai mon bandeau et m’agenouillai près de mon maître. j'suis allé appelé immédiatement un médecin.
À mon grand étonnement, je ne perçu ni colère, ni déception dans le regard de mon maitre. Il se contenta de m’appuyer gentiment une main sur l’épaule, une fois qu'ils eurent terminé de le soigner. Je me souviens encore de ses paroles.
‘‘Que tu réussisses ou que tu échoues cette épreuve m’importait très peu. Tout comme toi, j’ai calculé tes chances de réussite, et j’en suis venu à la même conclusion : il était presque impossible que tu ne me touches pas. Mais l’important, c’est que malgré tout, je n’ai pas bougé. Je ne t’en demande pas moins, maintenant.’’
Et sans attendre, il se banda lui-même les yeux. Je sentis l’appréhension me gagner en comprenant ce qu’il attendait de moi. Je n’avais pourtant pas le choix. Désobéir à mon maitrepourrait très bien me coûter l’exil. Je ramena donc neuf tronc aussi grannds que ma personne, et les disposai en cercle autour de mon maitre, qui tournait déjà sur lui-même. Dos à lui, je fermai les yeux et serrai les poings en entendant l’un de mes rondins tomber, plus loin. Un à un, ils furent éliminés, et plus le nombre diminuait, plus mes bras tremblaient. J’avais peur, c’était indéniable. En attendant de sentir la douleur fulgurante du sabre labourant ma chair, je serrai d’avantage les paupières. Et le neuvième tronc tomba. L’improbable s’était produit : je n’avais pas été touchée. Je me retournai vers mon maitre en silence et constata que ce dernier souriait paisiblement.
‘‘ Tu m’as fait confiance, malgré tout. Tu devras faire pareil avec tes amis. Peu importe à quel point la situation semble dangereuse.’’
Les années ont passés, et mon maitrea péri. Comment? On a refusé de m’expliquer ce fait, malgré mes protestations. Il est mort en chassant, une chasse où je ne pouvais pas l’accompagner. Il ne m'a laissé qu'une chose, son katana que je me jura de garder. Mais sans mon maitre, les premiers jours, je me suis sentit perdu. Perdu et affreusement seul. En fait, c’était la première fois que je réalisais à quel point, seul, j’étais. Ni ami, ni famille. Alors à quoi m’accrocher? À un souvenir, en me remémorant de vieilles paroles? Je savais que ça ne me suffirait pas. Il me fallait absolument trouver un but, mais j’ignorais par où commencer. Je choisis donc de faire ce qui semblait être le plus à ma porter : me mêler a la vie pour laquelle on m’avait éduqué depuis mes trois ans. Chasseur de primes en haute mer. Que savais-je de ses gens, mis à part que mon maître en était un? Dans toute l’innocence de mes vingt ans ans, je tentai de me faire bien voir de ces gens, sans même savoir quels étaient leurs desseins. Et peu à peu, leurs principes devinrent les miens. ‘‘De par une terreur générale, nous créerons une paix inviolable.’’. Suis-je dans le faux en croyant ces paroles? Peut-être bien, mais c’est ce à quoi je m’accroche, à présent. Certes, j’ai eu des moments de doutes. Très souvent, j’ai imaginé un enfant tremblant de peur dans une maison en ruine, atterré sur le cadavre de ses parents. Et je me suis dit qu’en restant chasseur je risquais de provoquer de telles situations. Pourtant, je n’ai jamais plié. J’ai été plus fort que mes doutes et mes peurs.
Je suis Akari , aujourd’hui âgée de vingt cinq ans, membre de la confrérie des Chasseurs de prime.J’ai toute ma vie été élevé par un maitre genial. Par lui, j’ai acquis toutes mes valeurs, mes connaissances et mes techniques. Mais j’ai aussi appris plus. J’ai appris de lui jusqu’au sens de la vie. Je ne suis qu’un gamin, mais j’irai jusqu’au bout, pour achever coup après coup la guerre que l’homme immature a installer sur ce monde qui leur a été offert. Mensonge ou vérité? À vous de le déterminer. En tout cas, moi, c’est ma vérité.
Mais un jour un homme arriva , me vendit un fruit soi-disant magique , le soir même je l'avala , la je me sentis mourir . Le lendemain j'etais transformer en vampire...
Je ne me souviend plus de mon nom ni de ce qui m'es arriver precedement.Cette histoire comme je vous l'ai dit m'a été raconter et je ne suis pas sur de son exactitude..
Je suis maintenant Akari Hadashi, un vampire pirate solitaire à la recherche de gloire et de fortune.
Rêve / But :Devenir le plus puissant et avoir bcp d'argent